Beaucoup me l'avait dit, mais je n'y croyais qu'à moitié. Pourtant, je dois reconnaître que je n'ai jamais autant apprécié Paris que depuis que j'en suis partie. En 10 jours, j'ai fait plus de choses qu'au cours des 6 derniers mois de ma vie active parisienne.
Pour commencer il y a eu le festival Ciné Nordica et sa dose de frissons. En effet, la plupart des films sélectionnés cette année dressaient un portrait assez terrifiant des pays scandinaves, les problèmes liés à l'alcool et à la famille étant des plus récurrents. J'ai quand même beaucoup aimé le long métrage suédois de Pernilla August, Svinalängorna, tout comme Submarino de Thomas Vinterberg (film danois), Maata Meren Alla de Lenka Hellstedt (film finlandais) ou encore Upperdog de Sara Johnsen (film norvégien).
Pour commencer il y a eu le festival Ciné Nordica et sa dose de frissons. En effet, la plupart des films sélectionnés cette année dressaient un portrait assez terrifiant des pays scandinaves, les problèmes liés à l'alcool et à la famille étant des plus récurrents. J'ai quand même beaucoup aimé le long métrage suédois de Pernilla August, Svinalängorna, tout comme Submarino de Thomas Vinterberg (film danois), Maata Meren Alla de Lenka Hellstedt (film finlandais) ou encore Upperdog de Sara Johnsen (film norvégien).
Il y a eu ensuite, dans un tout autre registre, la première représentation de Cendrillon à l'Opéra Comique, la visite des Docks de Ris où un éco-quartier verra bientôt le jour, un succulent dîner chez Kunitoraya II (5, rue Villedo - 75001 paris), des haltes gourmandes Chez Prosper (7 avenue du Trône - 75011 Paris), Pain de sucre, Affären, à La Ferme Opéra ou encore au bien aimé marché d'Aligres... ainsi qu'une flopée de belles rencontres.
De retour en Bretagne, je me suis souvenue que j'avais réalisé un délicieux gâteau juste avant de partir et que j'avais mis de côté les photos pour une publication future. Le moment est donc venu de vous les montrer. La recette avait été empruntée à Patoumi sur Poppies in October (voir son billet du 26 février 2011 dédié au Coconut Carrot Cake).
Sa consistance humide et son glaçage dégoulinant en ont fait un gâteau digne d'une belle fin d'hiver...
Pour un moule à cake de 18x8 cm.
* 170 g de carottes
* 60 g de noix de coco râpée
* 1 cuillère à café bombée de cannelle
* 1 cuillère à café bombée de poudre à lever
* 100 g de farine de blé T.60
* 150 g de sucre blond de canne en poudre
* 120 g de beurre 1/2 sel
* 2 oeufs
...
1 ~ Préchauffez votre four à 180°C. Faîtes fondre le beurre à feu doux. 2 ~ Dans un saladier, mélangez la farine, la levure chimique, le sucre en poudre, la noix de coco râpée et la cannelle. 3 ~ Faites un puits au milieu et versez le beurre fondu. Mélangez avec une cuillère en bois et incorporez les oeufs un à un. 4 ~ Râper les carottes finement et laissez la peau si elles sont bio. Ajoutez-les au reste des ingrédients et mélangez bien. 5 ~ Beurrez un petit moule à cake (18x8 cm) et versez la pâte dedans. Comptez environ 45 minutes de cuisson, la lame du couteau doit ressortir sèche. Laissez le gâteau refroidir à l'air ambiant et conservez-le ensuite au réfrigérateur. Pour le glaçage, il suffit de battre du fromage blanc (l'équivalent d'un petit pot individuel ou 1 fromage frais Malo dans mon cas) avec du sucre glace (2 cuillères à soupe) et du jus de citron (2 cuillères à soupe). Celui-ce se figera au contact du froid.
Petite info suédoise pour compléter le tout : le plateau a été dessiné par la designer suédoise, Maria Holmer Dahlgren, qui est également l'auteure d'une jolie série de cartes postales en vente actuellement chez IKEA !