Ce week-end, à Paris, il était possible de pénétrer à l'intérieur d'un ancien dépôt de la RATP et de revenir quelques années en arrière grâce à un événement insolite organisé avant la démolition du bâtiment situé au 18-20, rue des Pyrénées (20e). Une occasion unique de voir le site avant qu'il ne soit complètement transformé, de découvrir le projet de réhabilitation et de passer un chouette moment dans ce grand hangar industriel où se tenait durant deux jours, une brocante vintage accompagnée de concerts swing, jazz, rythm'n blues, d'une buvette à l'ancienne, et d'ateliers en tout genre permettant d'adopter un style rétro... pour un changement d'époque garanti !
Le marquage au sol, la signalétique, la charpente métallique, les grandes verrières... tout cela donne au site un côté underground et un esprit alternatif que je trouve très stimulant. Dommage qu'il n'y ait pas plus de lieux comme ça ouvert au public à Paris !
Séance coiffure et maquillage rétro pour les uns...
Séance photos pour les autres !
Et le dimanche se termine en musique avec "Graceland Band" !
Ah! Quelle efficacité! ;-) Moi je suis un peu déçue d'avoir loupé le bal!
RépondreSupprimerÇa me fait beaucoup de plaisir de te relire! Tu fais toujours des sorties très intéressantes et même si je regrette de ne pas avoir pu y aller, c'est chouette de regarder tes photos. J'imagine qu'il y régnait une ambiance sympa.
RépondreSupprimerUne fois, en claquant des doigts, j'aimerais porter chignon, bibi, lèvres rouges et manteau de demoiselle des années 40... Quelle allure! Et toi, Julia, où est la photo de ton beau maquillage?
RépondreSupprimerMerci pour ce petit reportage et pour le plaisir de te lire. Reviens-nous vite avec des belles histoires!
Valentine
Noë : C'est déjà bien que tu sois venue ;-)
RépondreSupprimerVanessa : Oh oui, l'ambiance était vraiment très très sympa ! Et pour une fois, il n'y avait pas cet esprit "Bobo" que l'on retrouve maintenant dans la plupart des événements parisiens. C'était au contraire assez bon enfant. Les gens ne se prenaient pas au sérieux et c'était franchement agréable ! Je suis contente que tu puisses en profiter un peu à distance.
Valentine : Me croiras-tu si je te dis que je me suis contentée d'observer ? C'était tellement amusant. Maintenant, je regrette. C'était le moment rêvé de claquer des doigts !